Your address will show here +12 34 56 78
Airline

The most profitable airline routes in the Middle East have been revealed – and UAE-based airlines account for almost all of them.

Statistics from airline data firm OAG reveal Emirates’ service from Dubai to London was the highest-earning Middle East route in 2018, bringing in more than $776m in revenue. That also made it the third highest-earning route in the world.

In second was the service by Saudi Arabian Airlines (better known as Saudia) from Riyadh to Jeddah. That route brought in more than $602m in revenue last year.

Overall, Emirates had nearly all of the top highest-earning routes in the Middle East. The Dubai-based airline is especially represented in long-haul intercontinental routes to major business hubs such as London, New York, Sydney and Singapore.

Etihad was also represented, with its Abu Dhabi – London service.

Globally, British Airways’ service between London Heathrow and JFK in New York retained its spot as the world’s highest grossing airline route, earning revenues of over $1.15bn in the last year. It is the only route to break the “billion-dollar barrier” and also reported an increased revenue per hour of some 10 per cent in the 12 months from April 2018 to March 2019.

Of the world’s top five highest-earning routes, three of them were to London Heathrow.

HIGHEST-GROSSING AIRLINE ROUTES IN THE MIDDLE EAST
(April 2018- March 2019, as revealed by OAG)


Dubai – London Heathrow

Airline: Emirates
Total revenues: $776.6m

Riyadh – Jeddah
Airline: Saudi Arabian Airlines
Total revenues: $602.5m

Dubai – Sydney
Airline: Emirates
Total revenues: $452.8m

Dubai – Melbourne
Airline: Emirates
Total revenues: $365.9m

Abu Dhabi – London Heathrow
Airline: Etihad
Total revenues: $359.5m

Dubai – Singapore
Airline: Emirates
Total revenues: $356.5m

Dubai – New York JFK
Airline: Emirates
Total revenues: $346.2m

Dubai – Paris Charles de Gaulle
Airline: Emirates
Total revenues: $313.3m

HIGHEST-GROSSING AIRLINE ROUTES WORLDWIDE
(Data from April 2018- March 2019)

1. London Heathrow – New York JFK
Airline: British Airways
Total revenues: $1.159bn
Revenue per hour: $27,159

2. Melbourne – Sydney
Airline: Qantas Airways
Total revenues: $861.2m
Revenue per hour: $23,773

3. Dubai – London Heathrow
Airline: Emirates
Total revenues: $796.2m
Revenue per hour: $24,926

4. Singapore – London Heathrow
Airline: Singapore Airlines
Total revenues: $735.5m
Revenue per hour: $18,771

5. San Francisco-Newark
Airline: United Airlines
Total revenues: $689.3m
Revenue per hour: $12,882


Source gulfbusiness.com

0

Aircraft, Airline, Maintenance
Source de l’article : Atlas News Magazine

Avec plus de 300 collaborateurs des installations industrielles, notre Direction Technique constitue certainement le potentiel d’ingénieurs et de techniciens opérant dans l’aéronautique le plus important au Maroc. Adil Jalali, son Directeur, lève le voile sur les ambitions et le fonctionnement de cette entité capitale de la RAM. 



En quoi consiste l’activité de la Direction Technique au sein de l’organisation de la RAM ? 

le rôle de notre Direction peut être scindé en deux grands volets. Premièrement nous définissons la politique d’entretien de la flotte du Groupe Royal Air Maroc,et garantissons la navigabilité de ses avions.

La seconde mission, et non des moindres, est celle d’assurer l’entretien des aéronefs du Groupe Royal Air Maroc, et ce, dans les meilleures conditions possibles en termes de sécurité et de délais .Dans le même cadre, il est de notre ressort d’assurer le traitement et le dépannage des avions dans les différentes escales desservies par Royal Air Maroc.

Le périmètre de la Direction Technique englobe aussi la réparation d’un nombre conséquent d’équipements d’avions, à travers l’activité de ses 13 ateliers.

Parallèlement à notre quête continue d’amélioration de la fiabilité technique de nos machines et des délais d’interventions, nous travaillons ardemment sur le volet coûts. Nous nous félicitons d’avoir pu construire, durant les 10 dernières années, un bagage et une expertise dans le domaine des contrats de sous-traitance. Ladite expertise nous a permis de mieux affiner nos besoins et mieux négocier les accords de couverture de maintenance de nos avions et leurs équipements.

Quelle stratégies de développement avez-vous mise en place pour cette activité ?     

Âpres une période difficile due à une conjoncture défavorable en 2012, RAM a lancé une réorganisation de grande ampleur. Un vrai challenge pour tous ! Notre Direction est ainsi passée de 700 à 300 agents(mécaniciens , agents de  supports, acheteurs ,etc,) et de 43 à 18 managers.

Une réorganisation des processus et procédures a été nécessaire afin de faire face à cette situation, et implémentation d’un système d’information performant a été l’un des axes stratégiques qui ont accompagné cette transformation. 

Dans le même cadre, une vision à moyen et long termes à été définie, en termes de recrutement de jeunes techniciens, de leurs formation et de leur montée en compétences, afin d’accompagner le développement de notre compagnie.

<< Gérer des situations complexes et composer de manière efficace en temps réel ,c’est notre quotidien >>

Quelles sont les particularités de votre métier ?  

Le charme de ce métier, c’est qu’il permet de rester un éternel étudiant tout au long de sa carrière. La maintenance aéronautique est un domaine qui évolue constamment à la pointe du progrès et au rythme des technologies . Intégrer avec excellence et rigueur les innovations internationales, c’est cette philosophie qui anime notre Direction . 

L’arrivée de la digitalisation a t-elle- entraîné des changements ?     

Il y a une évolution du métier en phase avec l’évolution technologique qui se traduit par une véritable montée en compétences. Avant, un technicien avait sa caisse à outils métallique pour intervenir et un préparateur s’occupait de la commande des pièces de l’avion auprès du fournisseur. Aujourd’hui, le mode opératoire a totalement changé.

Le mécanicien travaille en toute autonomie et dispose d’un PC qui communique directement avec l’avion et le magasin pour réaliser toutes ses taches. Il doit être polyvalent . Bientôt, Il pourra travailler via sa tablette, tout en se déplaçant en piste d’un avion à un autre . 

Depuis l’arrivé de la digitalisation, nous accordons également une très grande importance à la veille technologique qui nous pousse à améliorer nos procédures et à rester constamment à l’affût des dernières avancés.

Afin d’illustrer ces propos, je tiens à citer un des résultats phares de notre système de veille technologique:

AHM: Aircraft Health Monitoring, comme son nom l’indique, est un outil de gestion de la santé de l’avion , il est conçu pour aider à déterminer les besoins de maintenance qui surviennent pendant les opérations et à formuler des recommandations correctives appropriés en fonction de l’historique de maintenance. Nous nous basons sur ce système, d’une part, pour traiter dés les premiers signes les pannes avant qu’elle n’affectent les opérations, et d’autre part , pour anticiper les besoins en matière, main d’oeuvre et immobilisation avion.

Ce programme est aujourd’hui 100% opérationnel sur les B787 et le sera pour les B737Max. Des pistes d’implémentations sur les B737NG est en cours . 

PHM et FADEC Fault System Monitoring : La Direction Technique a été la compagnie de développement et de lancement des projets  SAFRAN: Proactive Health Monitoring, et Full Authority Digital Engine control Fault System Monitoring  sur les moteurs des machines B737NG . Ces systèmes ont pour but l’exploitation au maximum des données émises par le calculateur des moteurs en les associant à des algorithmes (construit, sur la base des expériences RAM) de prédiction de panne.  Ce programme nous permet aujourd’hui d’émettre des actions de maintenance prédictive pour palier à une panne avant qu’elle devienne visible à nos équipages, voire même à nos mécanicien. Depuis la mise en place de ce système, conjugué avec un programme de maintenance et un choix de configuration pointus sur nos moteurs, la Direction Technique a réussi à marquer le livre des records du constructeur CFM en termes de tenue sous l’aile et indicateurs de fiabilité des moteurs B737NG .


Quel sont les défis à relever pour l’avenir ?  

Sur le plan opérationnel, il y a tous les jours des défis à relever. Assurer la disponibilité technique de l’ensemble de la flotte est un challenge quotidien qui anime l’ensemble des collaborateurs de la Direction Technique. 

D’ici 2019, neuf avions vont intégrer la flotte de la RAM, ce qui constitue en soi un défi colossal, vu le temps imparti à cette intégration . L’arrivée de ces neuf aéronefs nécessite un travail conséquent, qui dure plus que 18 mois,  de préparation en amont avec le constructeur et les autorités, ainsi qu’une organisation particulière lors de leurs mise en services , surtout que 8 avions sur 9 représentent deux nouveaux types d’avions à savoir le

B737MAX et le B787-9. 

A moyen et long terme, la mise en place d’un centre d’excellence 787, du recrutement des nouveaux techniciens novices et de leurs intégration dans le dispositif technique, pour parer aux départs en retraite des techniciens expérimentés. En effet le processus d’intégration réglementaire d’un” technicien A”  est de 18 à 24 mois , et son passage d’un “technicien A confirmé ” à un “technicien B” nécessite au minimum 36 mois. Donc, le vrai défi réside dans cette transition de savoir,et de cette montée en compétences, dans un environnement concurrentiel rude.

D’autre part, nous œuvrons aussi pour la parité hommes-femmes et l’égalité professionnelle, qui qui font partie de nos premières priorités. Avant, il n’y avait quasiment pas de femmes à la Direction Technique. Depuis quelques années, nous comptons désormais neufs managers femmes, dont deux chefs de département et plusieurs techniciennes et agents de support, dont nous sommes fiers.

 

<<Depuis l’arrivée de la digitalisation, nous accordons une très grande importance à la veille technologique >>  

 


Comment assurer la transmission des compétences auprès des nouvelles recrues ? 

Depuis les départs enregistrés de 2012 et l’arrivée de notre nouveau  SI, nous avons mis naturellement en place un projet de knowledge management. 

L’archivage électronique et les bases de données collectées nous permettent de matérialiser et surtout transférer la connaissance au sein de la Direction Technique . 

Cette connaissance est matérialisé à travers des documents internes, mis à la disposition de la collaborateurs.

Par ailleurs, nous pouvons compter au sein de notre Direction sur “les anciens” les plus expérimentés qui sont disponibles à 300 pour cent pour transmettre leur savoir et les bonnes pratiques de l’industrie aux nouvelles recrues.

Je remercie d’ailleurs toute l’équipe avec qui nous avons pu développer un vrai modèle organisationnel dans lequel aucune décision unilatérale n’est prise et le changement est porté par tous . 


Quelles sont les inspirations de votre management ?  

En une phrase: ils n’y a pas de managers indispensables, mais tous doivent être responsables. Le manager n’est pas là pour réparer  un avion mais pour gérer des situations, tout en analysant les besoins en termes ressources humaines, de matière et de délai, et en respectant religieusement les exigences réglementaires de sécurité qui qui régissent notre métier.

La valorisation du capital humain et l’esprit de famille sont les valeurs clés qui règnent au sein de notre Direction, car nous vivons des situations stressantes et caractérisées par leur urgence. 

C’est également à travers un management de proximité que l’on peut inculquer l’esprit d’étique et de rigueur nécessaire au respect des processus réglementés, la transparence, l’équité et l’esprit de solidarité sont ancrés au cœur de la culture de la Direction Technique . 


    

0

Aircraft, Airline
Le spécialiste du stockage, de la maintenance et du recyclage d’avions, a redimensionné ses installations industrielles pour se positionner sur le créneau du second marché de l’A380.

Sur l’aéroport de Tarbes où est implanté Tarmac Aerosave, deux A380 en attente de déconstruction. Tarmac Aerosave.

Mi-octobre 2018, Tarmac Aerosave démarre un chantier de déconstruction d’un A380. Grâce à un outillage spécifique et des procédés qui se veulent respectueux de l’environnement (découpe à froid, arrosage, drainage, tri sélectif), 92% de la masse du super jumbo devraient être traités. 
Ces opérations vont permettre d’alimenter en pièces détachées le second marché. C’est aussi un chantier que suit avec attention Airbus (dont Tarmac Aerosave est filiale) notamment pour analyser le vieillissement de son avion hors normes.

Sur les quatre A380 qu’a réceptionnés Tarmac Aerosave à Tarbes, deux sont destinés à être déconstruits et deux autres sont stockés dans l’attente de retrouver un nouvel opérateur. Ils sont maintenus en conditions opérationnelles, permettant de repartir en vol à tout moment si besoin.

Tarmac Aerosave possède la capacité de maintenir en conditions opérationnelles les A380. 

Apparemment les clients ne se bousculent pas. C’est la raison pour laquelle, les propriétaires préfèrent déconstruire plutôt que payer du stockage. Même en seconde main, l’A380 peine à convaincre les opérateurs.

Source de l’article

0

Airline

Histoire de l’aviation – 4 août 1909. En ce mercredi 4 août 1909, c’est l’aviateur natif de Pierrepont Roger Sommer qui fait l’actualité aéronautique, ce dernier étant l’auteur en ce jour d’un magnifique vol, manquant de peu d’établir le nouveau record du monde de durée, mais malheureusement, un manque de carburant a fait s’envoler ses rêves de gloire et le record reste donc dans le camp américain mais pour combien de temps encore…

Roger Sommer a joué de malchance sur ce coup, car sa tentative était très bien partie : il signe ainsi un vol d’une durée de deux heures et dix minutes, ayant évolué dix minutes seulement de moins que le recordman en titre, à savoir le pionnier de l’air américain Wright qui était donc resté dans le ciel deux heures et vingt minutes pour s’attribuer le record. L’étau se resserre donc sur Wright, d’autant plus que Sommer fait de vol en vol de très beaux progrès : lors de sa dernière tentative, il avait volé vingt minutes de moins, soit une heure et cinquante minutes.

Parti vers 7 h 30 du matin, ce 4 août 1909, Roger Sommer avait pris place aux commandes d’un aéroplane de type biplan du constructeur Farman pour ce vol somme toute remarquable même s’il n’est pas parvenu à détrôner Wright.



Source de l’article
0

Aircraft

China has long had the demand for aircraft and the funds to finance them. It’s not surprising that a domestic leasing business has taken off. It’s a fast-growing business, still has some lessons to learn, but is learning these lessons very rapidly.


For example, the asset management side of leasing has not been very mature in China, and “most leasing companies did not focus on asset management until the last two years,” explains Johnny Lau, CEO of Hong Kong’s Astro Aircraft Leasing.


Lau says Chinese leasing companies started up around 2008, and their first priorities were growth. “They generally have banks as shareholders, and wanted to increase their size instead of profits. The object of most transactions was to get a bigger share of the bank’s balance sheet, so the leasing unit would have a more important say in the organization.”

Asset management is crucial to reducing risk and improving profitability of leasing, but the Chinese lessors simply were not focused on these considerations. As a result, in a few cases, lessors simply missed the timing of redelivery, and aircraft were stranded for a few months before they found a new home. “The leasing companies simply forgot they were coming off lease.” Lau recalls. “They forgot they had to get secondary leases and redeliver.”  


“That taught some painful lessons,” Lau says. “It raised the eyebrows of the bosses.” As a result, Chinese lessors have put more resources into asset management. They know they have to have a good plan 18 months before a lease expires to fund a new home for each aircraft.


Lau, as both CEO of his own firm and chief consultant in Hong Kong for the Aviation Business Services of PwC, helps clients deal with asset management challenges. He sees plenty of leasing opportunities in the rapidly growing Chinese market, and a more mature Chinese leasing sector eager to exploit these opportunities.


Lau says the largest Chinese lessors are now venturing abroad as well, into international markets, including Latin America. He sees Chinese leasing firms as having grown more disciplined toward the documentation needed in global markets as well. “They are using good law firms and advisors, so they do not miss too many deals.”


Of course, the fastest-growing market remains China itself, with double-digit traffic growth in 2017. Airlines, except those in the troubled HNA Group, are buying aircraft and ordering 200 to 300 new planes a year.


Chinese lessors still do not lease out engines, although Lau says there may be some talk about this option. Most lessors want to stick with narrowbodies to limit risks, but this has squeezed profitability in narrowbody leasing. So more investors are at least looking at the widebody market. And the part-out business is also growing with the China Aircraft Leasing Group and several other firms active.



Article Source
0

Aircraft

Airbus has just unveiled its Airbus A220, previously known as CSeries or C Series, the aircraft marketed by Airbus but designed by and built in partnership with Canadian manufacturer Bombardier Aerospace.

The Airbus company shared great news emphasizing that “It’s not every day you welcome a new member in your family”.

“Today is a momentous day in the history of Airbus and Bombardier. The A220 is now a full member of our family and we are all ready to unleash the full potential of this aircraft for the benefit of our customers, shareholders, passengers and employees”, on his Twitter account shared the President of Airbus Commercial Aircraft, Guillaume Faury.

Airbus purchased a 50.01% majority stake in the CSeries program in October 2017, with the deal closing in July 2018. As part of the deal, Bombardier retained a 31% stake in the aircraft and Investissement Québec retained a 19% stake. Airbus plans to open a second assembly line for the aircraft at its Mobile, Alabama factory.


Article Source
0

Aircraft
La flotte mondiale d’avions passagers va plus que doubler pour atteindre 48.000 appareils d’ci 20 ans, avec une croissance du trafic aérien de 4,4% par an, entraînant un besoin de 37.390 avions passagers et cargos neufs dans les deux prochaines décennies (2018-2037), selon les nouvelles prévisions de marché d’Airbus.

Relevant ses prévisions, le groupe aéronautique européen prévoit ainsi désormais un marché de 5.800 milliards de dollars (4.950 milliards d’euros) aux prix catalogue pour un besoin de 37.390 avions neufs sur la période 2018-2037, au lieu de 5.300 milliards pour 34.900 appareils il y a un an. « Les facteurs de croissance comprennent une consommation privée 2,4 fois plus élevée dans les marchés émergents, des revenus disponibles en hausse et un quasi-doublement des classes moyennes à l’échelle mondiale« , indique Airbus dans un communiqué. Les pays émergents représenteront plus de 60% de la croissance économique et les voyages par habitant seront multipliés par 2,5 pour ces pays.

Pour le segment court et moyen-courrier – où la plupart des avions monocouloirs d’aujourd’hui sont en concurrence et sur lequel Airbus s’est renforcé en prenant le contrôle du programme CSeries de Bombardier – le groupe prévoit un besoin de 28.550 avions neufs, soit 76% de la demande totale prévue. Pour le segment long-courrier, qui inclut les avions de plus grande capacité, y compris l’A350-1000 et l’A380, Airbus prévoit une demande de 1.590 appareils au cours des 20 prochaines années.


La source de l’article
0

Event
Histoire de l’aviation – 6 juillet 1922. En ce jeudi 6 juillet 1922, l’actualité aéronautique est marquée par le raid par la voie des airs que va réaliser Georges Pelletier Doisy, aviateur de nationalité française, détenteur du brevet de pilote portant le numéro 284. Ce dernier va évoluer dans le ciel de la ville de Tunis (Tunisie) jusqu’à l’aérodrome du Bourget, situé en région parisienne. Un voyage dont il va venir à bout dans cette seule journée, au terme de près de 12 heures de vol.

Décollant à 6 heures du matin de Tunis, plus exactement de l’aérodrome de Ksar-Saïd, il va en effet se poser au Bourget à 17 h 50, soit une randonnée aérienne n’enregistrant pas moins de quelque 1 700 kilomètres. Un parcours au cours duquel il a dû affronter le mauvais temps : au niveau de Lyon, les conditions météo se sont dégradées.

C’est avec un aéroplane de type biplan militaire du constructeur Breguet disposant d’un poste TSF et équipé d’un moteur pouvant développer une puissance de 300 chevaux que Georges Pelletier Doisy a effectué ce voyage, étant accompagné à cette occasion par le caporal Bussard, son mécanicien.

Source de l’article
0

Airline

La compagnie aérienne Air Transat va louer auprès d’AerCap sept Airbus A321neo supplémentaires, dont cinq en version LR qui viendront s’ajouter aux dix déjà commandés chez la société de leasing. Un troisième A380issu de la flotte de Singapore Airlines est arrivé chez Tarmac Aerosave à Tarbes.


La compagnie canadienne précise dans son communiqué du 27 juin 2018 que la location à long terme des sept appareils neufs inclut des livraisons entre 2020 et 2022 ; ces sept A321neo « remplaceront notamment des gros porteurs A330 dont les baux arriveront à terme durant cette période ». Comptant 199 sièges répartis en deux classes, l’A321neo sera utilisé pour les vols de correspondance et les liaisons vers le Sud (court et moyen courrier), tandis que les appareils à long rayon d’action (A321neo LR) seront utilisés vers les destinations Sud et transatlantiques (moyen et long courrier). Ils s’ajouteront aux dix A321neo LR neufs également loués chez AerCap, qui doivent entrer en service progressivement à partir du printemps 2019.


« Nous poursuivons la transformation de notre flotte en vue de gagner en efficacité et en flexibilité », a déclaré dans un communiqué Jean-François Lemay, PDG d’Air Transat. Avec leur plus petite taille, les A321neo « nous permettront de mettre en œuvre notre stratégie aérienne, soit d’accroître nos fréquences, d’étendre notre réseau et de renforcer notre position dans plusieurs marchés. L’objectif : continuer d’offrir à nos clients un service confortable à prix très compétitifs ».


La filiale du groupe Transat AT précise que ce type d’appareil a été sélectionné « pour optimiser la flotte », et que sa faible consommation de carburant « permettra également de maintenir un coût par siège aussi bas que possible tout en diminuant l’empreinte carbone ». De plus, comme les postes de pilotage des A330 et de la famille A320 (dont l’A321) sont similaires, le personnel navigant technique d’Air Transat pourra piloter les deux types d’appareil, « ce qui assurera une grande souplesse opérationnelle et des économies, notamment sur le plan de la formation ». Air Transat opère actuellement « 33 appareils permanents » au sein d’un « modèle unique de flotte flexible qui lui permet de déployer un plus grand nombre de gros porteurs l’été, pendant la haute saison transatlantique, et de petits porteurs l’hiver pour desservir les destinations soleil ». En 2024, sa flotte sera tout-Airbus.



Source de l’article
0

Aircraft

The first two Commercial Aircraft Corp. of China (COMAC) C919 flight test aircraft returned to the air on June 22 after weeks on the ground for what industry sources described as modifications.


The development program for the narrowbody airliner is proceeding according to plan, COMAC said when announcing the latest flights. “Developmental test flights, static tests, and on the ground, post-sortie onboard tests and optimization are being carried out in an orderly manner,” the state manufacturer said.


The first prototype, unit 101, is at Xian, a northwestern city where program supplier Aviation Corp. of China (AVIC) has a flight-test base; the aircraft flew for 3 hr. 10 min. on June 22. Aircraft 102 is at Shanghai, the location of the program’s final assembly plant; its latest flight lasted 1 hr. 34. min.


Unit 101 has been modified on the ground and undergone strength calibration, COMAC said, without referring to the duration of the period of non-flying. Work also included modification and calibration of the water ballast system used in flight testing. For Unit 102, COMAC said such tasks as checks on stability control have been completed. That aircraft will shortly move to COMAC’s test base at Dongying, in the eastern province Shandong.


The third flight-test aircraft, among six planned, has been scheduled to fly this year. The wing has been joined to the body and airtightness has been checked, COMAC said, adding: “Cabling and onboard systems are being installed.”


In its June 22 statement, COMAC did not mention changes to the first two prototypes’ tails and flaps, which had been reported by two industry sources to ATW’s sister publication Aviation Week.


Discoveries during any development program’s flight testing routinely result in tweaks, interrupting progress. The C919 has spent relatively little time in the air since the first flight, however.


COMAC said it is trying to make the first C919 delivery in 2021, following achievement of airworthiness certification in 2020.

The program was launched in 2008. The first prototype was rolled out in November 2015 and in May 2017.

Article Source

0

PREVIOUS POSTSPage 1 of 3NO NEW POSTS